dimanche 3 février 2019

Test : Êtes-vous catholiques? - Dialogue avec les lecteurs

Dialogue avec et entre lecteurs après la publication du test sur la foi catholique.

Commentaire n°1 posté par Miky
1-2 : NON (mais avec des réserves car je crois en l'Être et en son caractère absolu, nécessaire, etc.)
3-5 : NON
6-7 : NON (mais avec des réserves car je crois en l'Être et en son caractère absolu, nécessaire, etc.)
8-24 : NON
25 : d'une certaine manière, OUI.
26-47 : NON
48 : Plutôt oui à l'indissolubilité (disons qu'il faut faire son possible en ce sens) mais non au caractère sacramentel.
49-50 : NON
Quelque chose me dit que je ne suis pas catholique :-)

Commentaire n°2 posté par le pasteur E.G
Pour plus de clarté, il conviendrait de préciser l'Eglise catholique, apostolique et romaine à chaque fois que l'Eglise est mentionnée... Mais bon, je n'ai pas fait le texte, je ne me pose pas vraiment la question ;)

Commentaire n°3 posté par Tigreek
@Miky : c'est de la triche, tu étais hors concours dès le départ :D
@Matthieu : je crois que je préfère ce genre de questionnement au débat pour savoir qui est hérétique ou pas.
Je dirais que je réponds oui à la plupart des questions. Mes doutes résident essentiellement sur certaines questions concernant la Tradition et le Magistère.
12 : j'apporterais des nuances sur ce qui constitue le péché originel
30 : sur le purgatoire, là, j'ai de sérieux doutes
32-36.39 : oui mais pas seulement (ou alors Eglise en tant qu'Eglise universelle, pas Eglise catholique romaine)
37 : j'ai des doutes, et j'ai cru comprendre que ce principe d'infaillibilité ne s'appliquait que dans certaines conditions bien particulières ?
38 : non, je ne crois pas qu'elle en ait l'exclusivité. C'est mon côté protestant qui dit "Seule la grâce sauve".
47 : oui, à part le fait que je préfère l'appeler "sacrement de réconciliation" (la pénitence est la démarche que j'entreprends avant ce sacrement, et Dieu, dans l'immensité de sa grâce, me pardonne mes péchés, ce qui permet ma réconciliation avec Lui)
49 : j'ai des doutes (mais là encore, ça doit être mon côté protestant)

Commentaire n°4 posté par Hervé
J'avais déjà fait ce quizz sur le site de Cyril Brun que cite Matthieu. Et sans hésitations ni doutes, j'ai 50 OUI, ce qui me permet de supposer (en plus de mon intime conviction relayée par quasiment tous ceux que je rencontre) que je suis Catholique Romain. Une bonne partie des questions est reprise de notre profession de foi (ou Credo) et on utilise une forme interrogative comme celle-ci lors des Baptêmes.
Après, il faudrait développer car si l'Eglise est le lieu du Salut et de la grâce, ces derniers peuvent dépasser les frontières catholiques, Dieu étant bon et miséricordieux. Je suppose que certains orthodoxes, protestants et d'autres hommes ayant suivi leur conscience ont bénéficié de la grâce de Dieu et pourront aller au Ciel sans passer par Rome.

Commentaire n°5 posté par Tigreek
@Hervé : le credo est commun aux différentes confessions chrétiennes, il ne suffit pas pour affirmer être catholique (comme le soulignait Miky lorsqu'on évoquait l'amour pour Jésus...). Et précisément parce qu'il est commun et qu'il regroupe une bonne partie des réponses à ces questions, pour moi cela montre bien que nous sommes plus proches les uns des autres que nous ne l'imaginons !

Commentaire n°6 posté par ti’hamo
...Oh, ben, nous, on est sûrement, forcément et certainement plus proches les uns des autres que ce que nous croyons.
C'est ce que nous pensons qui n'est pas forcément toujours proche.  :-)

Commentaire n°7 posté par Nathalie
Je réponds à peu près oui à toutes les questions, dans la mesure où je les comprends toutes dans leur signification et dans ce qu'elles impliquent de conséquences.
Mais, ce que l'auteur de cet article ne dit pas, c'est qui a élaboré ce questionnaire, et quelle validité (crédit officiel, si je m'exprime bien, comme venant de l'Eglise elle-même) on peut lui accorder. 
Ce que j'entendais, en posant cette question, c'est : est-ce que n'importe qui a le droit de décréter que je suis catholique ? 
Est-ce que moi-même, j'ai autorité pour affirmer, de manière crédible et indiscutable, que je suis catholique ?
Si tout le monde est en droit et légitime pour dire, ceci est catholique, cela ne l'est pas, donc je peux dire que JE suis catholique, mais si mon voisin vient affirmer le contraire, que se passera-t-il ? 
Et puis pourquoi inventer un questionnaire lorsque nous avons le Credo ?
Enfin cela ne répond pas à cette question importante : qui est légitime pour dire qui est catholique et qui ne l'est pas. Moi ? la voisine ? Miky ou Tigreek ? ou l'auteur de ce blog ? 
Ce questionnaire est bien intéressant, amusant aussi, sans doute juste, mais d'où tire-t-il sa légitimité ?
.... Bon, ben ten, j'aime bien votre blog, je le trouve intéressant et vivant, alors je vous rajoute en lien sur le mien.

Commentaire n°8 posté par Tigreek
"Et puis pourquoi inventer un questionnaire lorsque nous avons le Credo ?"
Peut-être parce que, comme Miky et moi l'avons dit, le credo est partagé par les autres familles chrétiennes. Les catholiques n'ont pas le monopole de ce credo, alors s'ils veulent se différencier des autres, il faut trouver autre chose ^^
Mais ça me plaît que plusieurs d'entre vous parlent du credo pour se définir comme catholique. Ca veut dire que vous êtes oecuméniques sans le savoir ! :)

Réponse au Commentaire n°7 de Nathalie
Nathalie, tu trouveras ma réponse complète à ton Commentaire dans cet article : Qu'est-ce qu'un catholique?

Commentaire n°9 posté par Erasmus Minor
Quel étrange questionnaire ? Est-ce là la foi ? Non ! C'est un galimatias entièrement extérieur et dont, malheureusement, il n'y a pas grand chose à tirer ! On dirait un questionnaire pour magazine à grand tirage !
La foi chrétienne - et donc la foi chrétienne telle qu'elle se dit dans l'Eglise catholique - ne peut se résumer simplement à un questionnaire en 50 points dont aucun des mots ou presque n'a été interrogé ! Que veut dire aujourd'hui pour nos contemporains ces mots vides de sens ? Créer, infini, éternel... Mais qu'est-ce que ces mots ? Les avez-vous lus dans les Evangiles ? Certainement pas !
Vous reprenez, sans les interroger, des mots de la tradition certes mais qui ne sont pas des mots de Dieu ! Je suis triste de voir autant de médiocrité mais aussi d'éloignement de Dieu ! Vous fait il peur, le Dieu de Jésus Christ, pauvre et impuissant ? Vous fait il peur, le crucifié humilié ? Dieu est là, frères et soeurs, mutique et épuisé et il l'est encore aujourd'hui ! Comme le dit le Christ devant Pilate : Si j'étais de ce monde - si la puissance avait pour moi le sens de ce monde, et la force, et la domination - j'aurais envoyé mes serviteurs... mais je ne suis pas de ce monde !
Vos pensées sont loin, loin, si loin de l'Evangile de notre pauvre Dieu !
Didier Rimaud avait cette belle expression, prise à l'Evangile : Il y a parmi nous quelqu'un que nous ne connaissons pas ! En voici bien la preuve !
Intégrer d'esprit et de coeur la Tradition de l'Eglise et cessez de rester à brailler des mots que vous ne comprenez pas à la porte !

Réponse au Commentaire n°9
"Que veut dire aujourd'hui pour nos contemporains ces mots vides de sens ? Créer, infini, éternel... Mais qu'est-ce que ces mots ? Les avez-vous lus dans les Evangiles ? Certainement pas !" Certains y sont pourtant... D'autres non, c'est vrai, mais la Bible ne se résume pas à l'Evangile. Il y a aussi l'Ancien Testament et tout le Nouveau Testament (les Actes des Apôtres, les lettres de St Paul...) Or il se trouve que les trois termes que vous évoquez figurent tous trois dans la Bible...
Maintenant, si vous faites référence aux différents concepts soulevés dans le questionnaire, tous ne sont pas dans l'Ecriture, en effet (ainsi les termes de "Trinité", "Incarnation", "Purgatoire"...) Mais si les mots n'y sont pas, leur réalité, elle, s'y trouve.
Faut-il renoncer à les enseigner au motif qu'elles sont difficiles à comprendre? Bien sûr Jésus est homme. Bien sûr il s'est dépouillé de sa gloire. Mais il n'en est pas moins Dieu dans son abaissement. Ce n'est pas pour réduire le mystère que le Fils de Dieu s'est "anéanti" ; c'est pour le manifester. Mystère de sa venue, mystère de sa personne, mystère de son action salvifique... Mystère aussi de notre humanité, de sa vocation, et mystère de l'Eglise qu'il institue et à qui il confie en dépôt les "paroles de la vie éternelle" avec la garantie de sa spéciale protection contre les Puissances du Mal (cf. Mt 16. 18).
Il ne faut pas avoir peur (c'est le terme que vous employez) d'être affronté au mystère s'agissant de Dieu. Ni d'y adhérer par la foi (non pas une foi aveugle bien sûr, mais une foi qui pense et réfléchit).
Alors certes, la foi chrétienne est d'abord une relation à une personne : la personne même de Jésus-Christ, notre Seigneur et Sauveur. Mais Jésus-Christ se présente lui-même comme la Vérité (Jn 14. 6) ; il est notre Maître (Mt 23. 10), il nous enseigne : il a des choses à nous dire, auxquelles il nous demande de croire (cf. Jn 3. 12).
On ne peut dissocier l'enseignement du Christ et celui de l'Eglise, car le ministère d'enseignement de l'Eglise lui vient directement du Christ (cf. Jn 20.21) et son autorité lui est assurée par l'Esprit Saint qui lui est donné (cf. Jn 16. 7-15 ; Ac 1. 8...).

Commentaire n°10 posté par Rott Weiler
Bonjour Matthieu,
A beaucoup des questions, j'ai répondu par le doute ou par la négative. 
Pour me situer, j'ai 75 ans. Pendant 5 années, j'ai été coordinateur d'une des équipes EAL, de ma paroisse, laquelle compte plus de 35 clochers. [EAL : Équipe d'Animation Local] et fait encore aujourd'hui, parti de l'équipe funérailles locale.
Suis-je catho ? Suis-je chrétien ? Dieu seul le sait. 
Mais je n'enferme pas Dieu dans un système de croyances. 
Et Dieu ne se trouve pas uniquement dans la sphère catho.
Je suis très proche des pensées de Joseph Moingt développées dans ses livres.
Citation : "L’Eglise catholique, parce qu’elle est le corps même du Christ est un vêtement trop grand pour l’homme. Deux solutions se présentent donc à lui : ou grandir à la taille du manteau ou tailler le manteau à sa propre taille. Dans ce dernier cas, le manteau ne peut être celui de l’Eglise catholique. Il faut donc en tirer les conclusions qui s’imposent et ne pas chercher à transformer l’Eglise en sa propre Eglise."
Une réponse, celle de Maurice Bellet : 
"L’espace christique est plus grand que l’espace chrétien. Entendez : dans l’histoire de l’humanité et à l’heure actuelle, ce que signifie Jésus dépasse tout-à-fait ce que les chrétiens identifient comme leur bien propre. Ce n’est pas du tout leur donner un pouvoir plus vaste sur l’Évangile ! C’est l’inverse : c’est reconnaître qu’il y a, hors des limites des Églises, un rayonnement de la Parole qu’elles risquent d’ignorer – ou de combattre. Beaucoup ont, comme on dit, 'quitté l’Église' ou 'quitté la foi'. Qu’est-ce qu’ils ont 'quitté' au juste ? N’est-ce pas en fait qu’ils sont entrés en un espace plus grand que celui des christianismes institués, mais où l’Évangile peut être agissant, même sous d’autres étiquettes que celles des chrétiens ?" Maurice Bellet, Le Messie crucifié. Scandale et folie, Bayard, 2019, p.149,150. 
Avec mes encouragements pour tes blogs, 
Rott

Réponse au Commentaire n°10
Cher Rott, je vous remercie pour votre sincérité et vos encouragements.
Je publierai prochainement un article pour prolonger la réflexion sur "l'être catholique" - qui devrait vous éclairer un peu.
Que Dieu ne se trouve pas "uniquement dans la sphère catho" et qu'il existe un "rayonnement de la Parole (...) hors des limites de l'Eglise", cela ne fait pas le moindre doute et cela est même... la doctrine catholique! :) Ce qui me gène avec votre citation de Maurice Bellet et qu'on a l'impression que finalement, les "christianismes institués" sont trop étriqués pour l'homme et que celui-ci aurait avantage à gagner le grand large pour intégrer un "espace plus grand" où il pourrait ainsi mieux respirer. Ma vision de l'Eglise est toute inverse : dans un monde vicié par le péché, où l'homme a du mal à respirer (au point qu'il délire : il ne sait même plus la valeur d'une vie humaine, ni ce qu'est un homme et une femme), l'Eglise est une source d'oxygène où l'homme peut trouver à se purifier, spirituellement et intellectuellement : par les sacrements - où la grâce salvifique est communiquée aux âmes et les sanctifie ; par la doctrine catholique - qui nous enseigne les vérités fondamentales que nous avons besoin de connaître pour être sauvés. Cela ne signifie pas que seuls les catholiques seront sauvés - ni que tous les catholiques seront sauvés. Cela signifie que Dieu nous a donné en son Eglise un secours, une aide pour parvenir au salut. On peut ne pas avoir recours à cette aide et être sauvé. On peut avoir recours à cette aide et ne pas être sauvé. Mais il faut avoir conscience que c'est une aide - et qu'on serait finalement bien bête de ne pas y avoir recours. Sans elle, nous restons relativement éloignés de Dieu. "Celui qui va de l'avant sans rester attaché à l'enseignement du Christ, celui-là se sépare de Dieu. Mais celui qui reste attaché à l'enseignement, celui-là trouve le Père et le Fils." (2 Jn 9) Voilà pourquoi je serais assez intéressé de savoir les points sur lesquels vous avez des doutes ou des certitudes négatives. Peut-être pourrions-nous en parler?
L'enjeu n'est pas seulement notre salut éternel. L'enjeu, c'est notre joie ici-bas. La Bonne nouvelle est vraiment... bonne. Elle est vraiment source de joie, parce que Jésus est l'être le plus adorable qui soit - le seul, finalement, qui mérite qu'on lui donne toute sa vie. Dès lors, plutôt que de laisser chacun suivre son chemin et faire du hors-piste au risque de se perdre pour l'éternité, n'est-il pas plus judicieux d'indiquer à tous la piste balisée qui conduit ordinairement au salut - et à la joie de vivre ici et maintenant par Jésus, avec lui et en lui? "Voici comment Dieu a manifesté son amour parmi nous : Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde pour que nous vivions par lui." (1 Jn 4. 9)

2 commentaires:

  1. Bonjour Matthieu,

    Citation : « on a l'impression que finalement, les"christianismes institués" sont trop étriqués pour l'homme et que celui-ci aurait avantage à gagner le grand large pour intégrer un "espace plus grand" où il pourrait ainsi mieux respirer ».

    Je ne pense pas que M. Bellet exprime cela, car dans ce même extrait, il dit clairement qu' « à l’heure actuelle, - ce que signifie Jésus - dépasse tout-à-fait ce que les chrétiens identifient comme leur bien propre ». C'est-à dire que la signification, l'ampleur du personnage Jésus dépasse le bien commun des chrétiens. Certains l'ont compris ainsi (une des causes de la désertification des Églises ?) et ont intégrer un "espace plus grand", « où l’Évangile peut être – agissant -, même sous d’autres étiquettes. » M. Bellet parle, me semble t-il, de VALEURS.

    Citation de Matthieu. « l’Église [qui] est une source d'oxygène /.../ nous enseigne les vérités fondamentales que nous avons besoin de connaître pour être sauvés. Cela ne signifie pas que seuls les catholiques seront sauvés - ni que tous les catholiques seront sauvés.
    D'accord avec toi. Ce n'est donc pas une question de vérité (doctrine) : croire par ex. en la trinité, puisqu'un catho, « sauvé » ou pas, l'admet. Et que dire des non-catho...

    ► Je ne suis pas en train de te dire que l’Église n'est pas utile, que ses enseignements sont nuls, qu'elle n'indique pas « à tous la piste balisée »  etc... mais peut-être, qu'elle rendre accessible la personne du Christ, dans un langage accessible pour les gens d'aujourd'hui et ne pas en rester aux définitions du « Moyen-âge », comme l'avait dit un contemporain, dans un livre célèbre en son temps.

    Fraternellement,

    Rott

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  2. Quand je regardais la foule des jeunes au Panama rassemblée autour du Pape aux JMJ, je me disais que non seulement l'Eglise ne leur tient pas un discours moyen-âgeux - ils ne pourraient pas l'entendre -, mais que sa parole reste profondément moderne. Et cela se comprend : puisque la Parole de l'Eglise vient de Dieu, et que Dieu est éternel, son message demeure toujours actuel et prophétique de l'avenir. "Le ciel et la terre passeront, disait Jésus, mais mes paroles ne passeront pas" (Mt 24. 35)

    La question de la vérité est fondamentale. Car si des non-catholiques seront sauvés, ce sera APRES avoir reçu la révélation de la Vérité et y avoir adhéré (au plus tard à l'heure de la mort - voir les excellentes vidéos d'Arnaud Dumouch à ce sujet). Puisque l'adhésion de la foi implique la reconnaissance des vérités révélées par Dieu, autant commencer à y croire dès ici-bas, vous ne pensez pas? :)

    Cela me suggère cette réflexion : qu'est-ce qui différencie un chrétien d'un non-chrétien, au fond. Est-ce la bonté? Non bien sûr. Le chrétien n'est pas meilleur que les autres. La grande différence tient dans ce que le chrétien, lui, a sa mort derrière lui : par le baptême de l'eau, il est passé de la mort à la vie. Et ainsi, il peut vivre de la vie divine dès ici-bas. Le salut offert aux hommes par Jésus-Christ n'est donc pas seulement pour l'heure de la mort et l'éternité qui s'ensuit. Il est pour MAINTENANT. Dès maintenant, nous pouvons vivre de la vie éternelle - de la grâce de Dieu communiquée dans la prière et les sacrements ; de la Parole de Dieu qui se fait nourriture. N'est-ce pas la meilleure chose que l'on puisse offrir aux hommes de notre temps, usés par tant d'épreuves et dans l'angoisse de la maladie, des catastrophes, de la vieillesse et de la mort inéluctable qui nous attend tous?

    Je vous invite enfin à écouter les 10 premières minutes de cette vidéo que je regardais hier matin du P. Michel-Marie Zanotti Sorkine et qui a rapport avec notre sujet : https://www.youtube.com/watch?v=fWrYbAHqX5w&t=30s

    Sachez également que je viens de publier un nouvel article - qui est la suite du test de Cyril Brun - sur ce qu'est un catholique. A consommer sans modération :) https://roseau-catholique.blogspot.com/2019/02/quest-ce-quun-catholique.html

    Bien à vous mon cher Rott,
    Dieu vous bénisse.

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